Le commissaire : Toujours là où ça m’emmerde Nick, si j’avais gagné au tiercé chaque fois que t’as marché sur mes pataugas pendant une enquête, j’s’rais sûrement millionnaire !
Nick : toujours prêt à vous rendre service commissaire...
Et vous, toujours engeoleur (embastilleur ?) Précoce ?
Le commissaire : que veux-tu, dès que je vois une oie blanche, j’peux pas me retenir... Faut que j’la mette en cage... Et pis ça fait plaisir au ministre, ça ravit les pisse-copies et en plus ça garantit mon avancement. Tu voudrais pas freiner mon ascenseur social perso des fois ?
Nick : allons commissaire, pour ça, y faudrait qu’vous vous fourvoyiez... Sur le client... Le mobile... Votre métier... Et vous, vous ne vous trompez jamais commissaire, n’est-ce-pas ? Jamais....
Pendant cette conversation pleine de respect réciproque, la veuve joyeuse était emmenée avec déférence en attendant d’être déférée sans aménité, grandeur et décadence de la bourgeoisie de province.
La maison sonnait à présent aussi creux que mon enquête, j’avais enfin les mains libres et rien pour les occuper. Par où commencer, peut-être retrouver mon numéro de sécu... Ou retourner voir le peu d’indices qu’avait récolté mon bâton de vieillesse.

Que fait-elle les pieds sur la table sur le bureau du boss ? enfin je suppose .
RépondreSupprimerJe n'en sais rien, j'attends les propositions, peut-être est-elle le boss et qu'il ne le sait pas (c'est courant dans le vie non ?!?)
SupprimerElle attend un autographe de l'auteur de la bande dessinée non ?
RépondreSupprimerC'est une possibilité mais dans ce cas, qui sera l'auteur puisque j'attends des contributions multiples et variées, peut-être en feras tu partie ? Je te présenterai.
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