Sur de tels bancs, j'en connais qui lisent, qui rêvent, qui parlent entre amis, qui tiennent leur enfant sur les genoux avec bonheur, mais on oublie trop souvent ou l'on refuse de voir l'immense peine de cet Homme enveloppé dans sa solitude. Et la souffrance que l'on ne partage pas fait plonger si bas qu'il en devient impossible de respirer.
En attendant que l'on enlève ces bancs… Il faisait beau ce jour là, la misère n'est pas plus belle au soleil, il permet juste de rejeter dans l'ombre ceux que l'on ne veut pas voir
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Sur de tels bancs, j'en connais qui lisent, qui rêvent, qui parlent entre amis, qui tiennent leur enfant sur les genoux avec bonheur, mais on oublie trop souvent ou l'on refuse de voir l'immense peine de cet Homme enveloppé dans sa solitude. Et la souffrance que l'on ne partage pas fait plonger si bas qu'il en devient impossible de respirer.
RépondreSupprimerEn attendant que l'on enlève ces bancs…
SupprimerIl faisait beau ce jour là, la misère n'est pas plus belle au soleil, il permet juste de rejeter dans l'ombre ceux que l'on ne veut pas voir
oui !
RépondreSupprimer"entrevue"... et pourtant !